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Ce n’est pas tant que la connerie dispose par défaut d’un intérêt intrinsèque car, étonnamment, si on y réfléchit un instant, on se rend compte que la connerie n’existe que par ceux qui l’exerce : Les cons.

Dit autrement, l’univers dans sa nature ne contient pas de connerie ; si les cons n’étaient pas des cons, la connerie ne serait qu’une notion virtuelle.

Stupidité, bêtise, crétinerie, imbécillité, idiotie, inintelligence, etc… Quelles que soient les synonymes communément admis pour le mot connerie, ils leur manquent tous ce petit détail : l’exercice de la connerie par un humain sur un autre a le don d’agacer, d’énerver, d’envahir et de réduire à néant l’intelligence de la personne vers laquelle elle est pointée.

Quelle drôle d’idée que de vouloir parler de la connerie, et, par extension, des cons !

Effectivement, c’est sans doute un des sujets les plus agaçants du monde, alors pourquoi vouloir vous parler de la connerie ? Simplement parce que j’ai acquis la conviction que les personnes qui subissent la connerie, celle des méchants cons, en souffre car elles n’osent pas croire qu’elle existe, et ces personnes restent dans ce doute : Est-ce que ce qui vient de se passer est vraiment con, ou est-ce que je suis trop con pour comprendre ce qui vient de se passer.

Je suis persuadé que d’accepter le fait que la connerie existe dans tout son illogisme est la seule passerelle pour ne pas en souffrir quand on la subit.

C’est à partir de ce postulat (ou cet axiome) et de mon expérience que je souhaite vous aider à comprendre ce qu’est la connerie (et les cons), afin de pouvoir la détecter et ainsi ne pas tomber dans ses pièges.

J’espère pouvoir vous faire comprendre qu’il n’y a pas vraiment de différence entre « être un con » et « prendre les autres pour des cons », car seuls les premiers savent faire le deuxième !

Parler de la connerie d’accord, mais suis-je qualifié ? Suis-je crédible ?

Le sujet est épineux car comme l’explique Maxime Rovere dans son livre « que faire des cons ? » : depuis que les philosophes existent, ils se sont allègrement penché sur le problème de l’intelligence en sous-entendant qu’ils évoquaient par là même son opposé (la connerie ?) à travers ce traitement.

De façon plus terre à terre, je ne suis diplômé ni en psychologie, ni en psychiatrie, ni en philosophie, ni en lettres, ni en histoire… mais même si rien n’atteste officiellement de ma capacité à raisonner correctement (peut-être ne suis-je qu’un gros con prétentieux d’ailleurs), figurez-vous que j’ai de l’expérience ! (Une grande expérience de la connerie des autres, en plus de la mienne).

Et oui, pour mon plus grand malheur j’ai croisé un certain nombre de cons dans ma vie (et des connes aussi), pas forcément une grande quantité, mais je vous assure que la qualité était au rendez-vous ! Je ne vous parle pas de gentils cons, ceux que l’on devrait qualifier simplement d’idiot sans que ce soit péjoratif – même si c’est un peu con de ma part d’essayer de faire croire que l’on peut dire de quelqu’un qu’il est idiot, mais que ce n’est pas péjoratif -, mais convenons tout de même que si un psycho-cogniticien accrédité peut qualifier sans détour une personne ayant un quotient intellectuel inférieur à 65 de « débile » sans que cela pose problème à personne, il devrait y avoir une possibilité pour que tout un chacun puisse qualifier d’idiot quelqu’un qui « est dépourvu d’intelligence, de bon sens », en l’énonçant comme un simple fait et sans aucune envie de nuire ou de dénigrer.

Donc, osons appeler « un chat », « un félidé apprivoisé », et « un con », « un con ! ». En toute simplicité.

La connerie, mais pas que… Et heureusement !

Heureusement, je ne suis pas suffisamment con pour ne vous parler que de la connerie ! Cela ne serait que rébarbatif, et pas éducatif du tout. Pour jouir du plaisir de maîtriser les cons il faut également profiter de notre capacité à ne pas l’être. En tout cas, le moins souvent.

Paul-Claude Racamier (1924-1996 / psychiatre et psychanalyste) écrivait dans son ouvrage « Les perversions narcissiques » (1992) :

Il est vrai que le souci de la vérité est un frein, en même temps qu’un stimulant, pour ceux qui n’aiment guère la « mal-pense » : le pervers, lui, ne connaît pas de ces freins, mais, de leur fécondité, il ne connaît rien non plus.

(Merci monsieur Racamier) Voilà pourquoi je partagerai avec vous sur ce blog des articles sur des sujets divers et variés qui vous permettrons comme moi, je l’espère, de vous sentir moins con 😉 ! Car il faut aussi savoir déguster notre intelligence quand elle se manifeste.

Alors, contrairement à la connerie, soyons créatif, et profitons-en.

PS : Je suis un peu cacographe !

Un cacographe est une personne qui écrit mal… Alors, je ne pense pas vraiment écrire mal, au point de ne pas pouvoir être compris, je pense que mes phrases ont du sens, mais j’ai beaucoup de difficultés avec la grammaire. Pour me rassurer je me dis que je suis trop synthétique pour elle (la grammaire). Les exceptions grammaticales sont trop nombreuses pour que mon esprit les intègre. Je ne pense pas être con à ce sujet, mais j’ai l’impression que mon intellect, sans l’accord de mon moi conscient, a décidé de ne pas intégrer la complexité grammaticale française.

Je fais de mon mieux, et j’espère que vous ne me tiendrez pas rigueur de ne pas être un champion de la dictée.

Alors, « En voiture Simone ! », comme disait Guy Lux à Simone Garnier, mais en référence à Simone Louis de Pinet de Borde, qui fut une des premières femmes à affronter avec brio, l’exclusive classe masculine des courses et rallyes automobiles français.

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